Comme c’est devenu désormais la tradition, une petite rétrospective en image de mon année :

Cela aurait pu être une belle année, avec deux très beaux voyages, Prague et Londres, l’inauguration du salon du livre, de fréquents séjours à Paris… Mais elle a été empoisonnée par un événement traumatisant, et je crois que malgré les belles choses, malgré mes efforts constants pour essayer de remettre de la poésie dans le quotidien, malgré Nietzsche (« ce qui ne me tue pas me rend plus fort« ) j’en garderai un souvenir assez pénible. Quelque chose comme une rupture définitive.









Un petit mot ?