En mots…
Janvier… Bonne année ! // Champagne // Une nouvelle page blanche à remplir. Prenons la plume, alors, et à nous deux 2015 ! // Brouillard, pluie et attaques de détraqueurs // Home, sweet home // Les Grandes espérances // Ranger la magie de Noël. Mais pas la magie tout court // Frigorifiée // Atelier d’écriture // Séisme. Je suis Charlie. Et je pleure. Et j’ai envie de vomir. Et j’ai la haine, aussi. Et j’ai l’impression surtout que plus jamais rien ne sera comme avant, car il sera désormais impossible de faire semblant // Les mots qui ne coulent pas // La gueule de bois. Se réveiller avec l’impression que le monde vient de s’écrouler, comme un hiver nucléaire. Refuser d’entendre certaines choses. Et les haïr pour leurs paroles comme jamais encore je ne les ai haïs. Se rendre compte que ce n’est, décidément, plus possible // Et puis la vie qui reprend. En tout cas, qui essaie, tant bien que mal, plus mal que bien d’ailleurs // Résister. Ecrire. Mais ne jamais oublier. Ne jamais oublier que la liberté d’expression est notre bien le plus cher // Dies irae. Dies spei // Restons futile. Parce qu’il faut continuer à vivre // Un nouvel iPhone // Beaucoup de questions, beaucoup de réflexions. Une même conclusion // Tripalium // Un aspirateur qui prend feu… un signe que je ne suis pas faite pour le ménage ? // Certaines semaines plus longues et ennuyeuses que d’autres. Du gris, du froid, et des sommets de bêtise ahurissants, que je ne supporte décidément plus // Voyage culinaire en Asie // Bref, j’ai racheté un nouvel aspirateur. Et une coque dorée pour mon iphone // Pain perdu, plaisir retrouvé // Ça pousse // Fais ta blogueuse mode // Un rôle qui n’est décidément pas le mien // Binge reading // Un peu de vitamines // Une boîte aux lettres pleine de surprises // Charlie, enfin // Tombe la neige // Cocooning…
(un mois difficile, évidemment, où il est compliqué de laisser parler le futile. Et le début du mois sonne bizarre, quand on sait ce qui va arriver après, et que rien jamais plus ne sera comme avant. En tout cas pour moi, car j’ai l’impression d’une détonation violente qui résonne encore et qui fait que je ne peux plus continuer à jouer un rôle qui n’est pas pour moi, et que je ne peux plus continuer à fréquenter quotidiennement la bêtise la plus crasse sans pouvoir rien faire contre)
En images…
Caroline Doudet 
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