Life is not just what we can see.
Je ne me lasse décidément pas de Woody Allen et de sa manière de voir le monde, et j’avais évidemment très envie de voir enfin son dernier film, dont le titre suffit à m’enchanter. Le titre et la présence au casting de Colin Firth, cela va sans dire.
Le prestidigitateur Wei Ling Soo est le plus célèbre magicien de son époque, et il n’a en réalité rien de chinois. Son vrai nom est Stanley Crawford, mégalomane, égocentrique et misanthrope anglais qui s’est donné pour mission de démasquer tous les faux médiums.
C’est ainsi qu’avec son ami Howard Burkan, lui aussi illusionniste mais sans succès, Stanley se rend chez les Catledge qui possèdent une somptueuse propriété sur la Côte d’Azur, et se fait passer pour un homme d’affaires, du nom de Stanley Taplinger.
Son but ? Démasquer la jeune et ravissante Sophie Baker, une prétendue médium, qui y séjourne avec sa mère. Le problème ? Non seulement la jeune femme semble savoir des choses sur Stanley qu’il lui est impossible d’inventer, mais en outre elle est totalement délicieuse !
Quelle petite merveille ! Le magicien, ici, c’est Woody Allen, qui nous offre une fable, un conte sur la magie de la vie et de l’amour, la seule chose, finalement, qui nous dépasse et constitue le plus grand mystère de l’humanité.
Colin Firth est sexyssimement odieux dans ce rôle de cartésien pur et dur, qui refuse obstinément tout ce que la vie peut offrir d’irrationnel — mais il est bien puni : l’amour l’aveugle, il se laisse avoir (au grand dam de son orgueil démesuré) et il apprendra combien la pensée magique peut procurer de bonheur, et que parfois pour vivre nous avons besoin de nos illusions.
Un film extrêmement poétique, plein de grâce, aux dialogues savoureux, drôles et spirituels, et qui nous emporte totalement. A ne pas louper !
Magic in the Moonlight
Woody ALLEN
2014
Ah oui, je suis aussi sous le charme total de Colin Firth et pas toujours mais souvent du cinéma de Woody Allen à condition qu’il ne joue pas dans ses films. C’est un mauvais acteur, un bon musicien, un artiste complet mais un homme… comment dire… les mots me manquent…………………………………………….
J’aimeJ’aime
Je l’aime bien aussi quand il joue… Après, bon, l’homme, c’est un autre problème !
J’aimeJ’aime
Comme c’est souvent le cas chez Woody Allen, j’ai été séduite 🙂
J’aimeJ’aime
😉
J’aimeJ’aime
Les films de Woody Allen sont souvent merveilleux.
J’aimeJ’aime
Oh je suis bien d’accord !
J’aimeJ’aime
j’ai passé un bon moment. j’ai trouvé le film doux et leger mais j’avoue que je m’attendais a un peu plus de magie, enfin de poésie… Mon prefere va rester la rose pourpre du caire
J’aimeJ’aime
ça fait un petit moment que je n’ai rien vu de Woody Allen, celui-ci me tente bien.
Merci pour la piqûre de rappel 😉
J’aimeJ’aime
😉
J’aimeJ’aime
Comme j’aimerais de nouveau vibrer pour un Woody.
Ce n’est pas avec celui-ci que cela aura lieu…
J’aimeJ’aime
Ah bon ? Pourquoi ?
J’aimeJ’aime
Un ennui latent, une poésie très légère qui n’a pas du tout su me toucher. Et pourtant Dieu sait que Colin Firth n’a pas grand chose à faire pour me convaincre…
J’aimeJ’aime
Ah oui ? Je ne l’ai pas du tout vécu comme ça !
J’aimeJ’aime
Ah ! Woody… Dès son 1er film (le second en réalité « prends l’oseille… », je n’ai jamais raté un film à sa sortie. Toujours un enchantement, en VO.
J’aimeJ’aime
Je ne les ai pas tous vu, ce qui est une bonne nouvelle : il me reste plein de belles choses à découvrir !
J’aimeJ’aime
Très joli film, vraiment le Woody Allen qui me réconforte 🙂 et petite anecdote qui n’intéresse que moi, mon beau-frère à 2 scènes dans le film, ça m’amuse ^^
J’aimeJ’aime
Oui, je peux comprendre !
J’aimeJ’aime
Une bonne comédie romantique se mêlant à des réflexions pertinentes sur les limites de la raison de l’homme et le pouvoir de l’illusion. J’ai également beaucoup aimé le duo formé par Colin Firth et Emma Stone.
J’aimeJ’aime
Oui !
J’aimeJ’aime