Des fraises et de la patience

J’ai toujours entendu qu’il fallait être patient avec les fraisiers, car ils ne donnaient rien ou très peu la première année.

C’est le cas du mien : l’an dernier, j’en avais planté deux. L’un est mort, l’autre s’est vaillamment accroché à la vie, mais n’avais donné de des fraises grosses comme des petits pois. Il a ensuite traversé l’hiver bon an mal an, et est devenu magnifique au printemps, se couvrant de fleurs puis de petites fraises bien charnues que je ne pensais pas voir rougir aussi vite, vu que pour rougir, il faut du soleil.

Mais ce soir, j’ai pu cueillir les quatre premières, bien rouges, bien rondes, bien sucrées j’espère, ça je le saurai tout à l’heure et manger les premières fraises de ma récolte ça sera ma joie (et ma fierté) du jour.

J’ai planté l’autre jour un deuxième fraisier, mais je sais que, comme certains projets qui mettent du temps, il ne donnera rien dans l’immédiat. C’est encore une fois une question de patience.

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Portrait plan américain d'une femme châtain ; ses bras sont appuyés sur une table et sa maingauche est près de son visage ; une bibliothèque dans le fond

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