En mots…
Un froid à ne pas mettre le nez dehors. Sortir quand même acheter quelques magazines que je n’aurai, comme d’habitude, pas le temps de lire, juste de feuilleter // Perspective d’un nouveau week-end dissolu dissous dans le travail. Ciel brumeux comme mon esprit // Ouvrir la première fenêtre de mon calendrier de l’avent et savourer les premiers épisodes d’une nouvelle série // Un problème de communication accru avec les esprits scientifiques. Eux et moi ne sommes, décidément, pas du même monde // Une journée mouvementée : confessions, incendie, insultes et marquis de Sade // De la neige et devoir me déguiser en lutin. Enfin, en schtroumpfette, m’a-t-on dit // Un joli sapin de noël // Un week-end à peu près tranquille. Me replonger dans des textes que j’aime et qui parlent d’un sujet qui m’est cher. // Des odeurs qui embaument la maison. Celle du crumble de foie gras au pain d’épice reçu dans ma box cuisine. Celle du riz au lait au sucre aromatisé à la barbe à papa, que je fais avec du lait d’amande. Celle de la bougie de Noël. Certaines odeurs s’accompagnent de goûts non moins agréables // Des couleurs et des lumières. Celles de la guirlande lumineuse de mon sapin et des décorations qui parent les rues de la ville, la rendant, pour un temps, un peu moins vide et sans âme // Une déception. Sans doute que je prends les choses trop à coeur, que la période y fait sans doute beaucoup, mais je prends certains propos comme un coup de poignard dans le dos. J’exagère (toujours, c’est dans ma nature, j’aurais dû être héroïne tragique), mais découvrir que ce que je considère fonctionner correctement ne fonctionne en fait pas, et qu’une relation que je croyais de confiance n’en est pas du tout une, c’est triste. // Tout le monde qui me dit que j’ai mauvaise mine. Et encore, ils ne m’ont pas vue au saut du lit… // Blagues pathétiques du 12.12.12 à 12h12. // Me réjouir du malheur d’autrui. Ce qui a priori n’est pas bien, mais lorsqu’autrui est en l’occurrence une personne méprisante et détestable, j’ai envie de dire que qui sème le vent récolte la tempête ! // Revoir Love Actually. Que j’aime ce film, émouvant et plein d’optimisme, un petit bijou de Noël // Etre épuisée psychiquement. Une longue semaine à supporter avant les vacances… // Des fruits déguisés pour un petit repas de Noël off entre collègues // Survivre à une période mouvementée et à la fin du monde. Enfin les vacances // Les derniers cadeaux de Noël, en arrivant à esquiver la foule // Une bougie parfumée à la guimauve. L’impression de vivre dans un paquet de Chamallows, sans les kilos afférant // Tomber en zappant sur Les Marseillais à Miami. Ne savoir ri l’amusement, la pitié ou l’affliction domine // Ecouter les chants de noël, Frank Sinatra et All I want for Christmas is you en mangeant des orangettes // Enfin un week-end que je peux passer à bouquiner sous la couette en regardant la pluie qui tombe // Faire mes valises. Partir une semaine et emporter de quoi m’habiller pendant 6 mois // Noël en famille, de jolis cadeaux, un bracelet en perles et de quoi faire des gourmandises. De bonnes choses à manger, huîtres, foie gras et bûche, arrosées de bonnes choses à boire, champagne et verveine du velay (qui est, contrairement à ce qu’ont cru certains en lisant mon article de noël et qui m’ont imaginée en train de boire de la tisane (sans blague !), un digestif alcoolisé assez fort) // Promenades dans la campagne…
En images…










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