A l’heure de dire adieu à 2015, j’ai envie de dire « ouf ». Parce que, question année de m***, elle se pose là. Non que 2014 et 2013 aient été particulièrement joyeuses, mais enfin, tout de même, on a atteint des sommets. Alors certes, il y a eu de belles choses, aussi, mais globalement le bilan du conseil de classe est mauvais : avertissement comportement pour 2015, exclusion définitive sans sursis…
Enfin, regardons de plus près dans le rétroviseur…
Janvier…



Ça avait pourtant bien commencé : du champagne rosé, des rires, des vœux… et puis, la tragédie…
Février…



On essaie de mettre un peu de baume sur les plaies, de réapprendre la joie et l’insouciance, mais à nouveau la fatalité nous frappe en plein cœur…
Mars…



C’est le salon du livre, c’est mon anniversaire, c’est Paris… je ne veux retenir que ça !
Avril…



Le printemps enfin, l’espoir d’une renaissance… s’accrocher aux jolies choses, à ce qui met de la poésie dans le quotidien !
Mai…




Du champagne, une jolie fête, mon premier (et à ce jour unique, mais passons) (enfin non d’ailleurs, à strictement parler ce n’est pas le premier, mais l’autre c’était pour un ouvrage scientifique collectif) contrat d’édition…
Juin…



Des tomates qui poussent bien, du soleil, la rentrée littéraire qui s’annonce fort belle, des fleurs…
Juillet…




Des soirées chaudes à refaire le monde, des lumières, et un magnifique voyage en Belgique…
Août…



Retrouver mon cher Cap-Ferret, manger des huîtres, retomber éternellement amoureuse de Paris…
Septembre…



Retrouver la pesanteur du quotidien laborieux, se promener sur les bords de Loire, avoir l’ego flatté…
Octobre…




L’automne. La nature qui se pare de mille couleurs. L’endormissement malgré les jolies choses. Paris, je t’aime.
Novembre…



La stupeur, la sidération, les larmes. Besoin de chaleur, de réconfort. Dire aux gens qu’on aime qu’on les aime. Plus que jamais besoin de littérature et de culture. Au milieu de tout ça les prix littéraire, comme une petite lumière…
Décembre…






Les lumières, la chaleur, la magie, Paris, le champagne, le réconfort, malgré la peste brune qui rampe…
Alors voilà 2015, tu as apporté de jolies choses, que j’ai essayé de mettre en avant autant que j’ai pu, mais quand même, toutes ces horreurs, c’est impardonnable… Adieu !








Un petit mot ?