Et c’est parti pour les favoris de cet été, il y en a tous les domaines !
1. Begone : une application pour éradiquer le démarchage téléphonique
Je commence avec du lourd, et une application qui a sauvé ma santé mentale en me permettant de bloquer toutes les plages de numéros indésirables : Begone. Pour l’instant elle n’existe que sur iPhone (mais j’imagine qu’ils vont la développer).
Et c’est très simple : une fois l’application installée, vous devez d’abord aller dans Paramètres>Téléphone>Blocages d’appels et identification afin de l’autoriser. Ensuite, vous ouvrez l’application, et vous ajoutez les numéros dont vous ne voulez plus entendre parler, et notamment en ce qui me concerne tous les numéros réservés au démarchage téléphonique, à savoir ceux commençant par 0162, 0163, 0270, 0271, 0377, 0378, 0424, 0425, 0568, 0569, 0948 et 0949 : pour bloquer par plage, il vous suffit de remplacer la fin du numéro par des *.
L’application est gratuite, mais je serais prête à payer pour cette tranquillité qu’elle m’offre : ne plus être dérangée par les importuns ! Au moins maintenant quand ça vibre (je suis toujours en silencieux), je sais qu’il s’agit d’une vraie personne !
2. Ma robe chemise Ali di Firenze
Je vous ai déjà parlé de la marque d’Alice Cheron, Ali di Firenze, que j’affectionne particulièrement et qui m’inspire beaucoup. J’avais eu le coup de cœur pour cette robe chemise, qui malheureusement est sold out mais tant pis, depuis sa sortie, et j’ai fini par craquer en début d’été.
Alors déjà, gros big up à Emilie du service après-vente : j’ai eu un problème de livraison (le livreur ne trouvait pas mon immeuble) et elle m’a elle-même contactée avant même que je m’occupe du problème, qui a été résolu très vite, et j’ai pu avoir ma robe. Une robe parfaite pour le retour de plage, le marché ou l’apéritif, lorsqu’il fait un peu frais. Un peu d’Italie dans ma garde robe !
3. Voyageurs du monde
J’ai découvert le site Voyageurs du Monde par hasard grâce à un groupe WhatsApp. J’ai ensuite passé des heures sur leur site, à me nourrir de la beauté des photos et des différents conseils, mais ce que j’ai surtout aimé, ce sont leurs catalogues (à l’heure où j’écris ces lignes, le site a un bug et on ne peut plus les commander mais cela va être réparé à la rentrée), de véritables magazines de voyage que j’ai lu de la première à la dernière page tant ils m’ont intéressée. Et ils sont gratuits (sauf si vous en commandez trop : ils vous demandent les frais de port). J’ai choisi pour commencer Espagne (évidemment), Italie (qui cela étonne-t-il) et France, mais j’ai dans la ligne de mire d’autres éditions !
Ils sont tellement beaux que je les ai mis sur ma table basse, pour l’inspiration !
4. Mon maillot de bain Cupshe
On est nombreuses à avoir le problème : choisir un maillot de bain, c’est une tannée. Pour ma part, je veux quelque chose de léger (qu’il sèche rapidement et s’enlève facilement car parfois, je l’enlève avant de partir de la plage), joli et flatteur, et qui ne coûte pas le PIB du Japon. Cette année, j’avais un critère de plus : une jolie couleur, parce que j’en avais déjà deux noirs et un noir et blanc. Et à force de la voir partout et d’entendre qu’ils tombaient extrêmement bien, j’avais envie de texter la marque Cupshe, et j’ai eu le coup de foudre pour un modèle qui répondait à mes critères (lien affilié), dans une couleur pour laquelle j’ai eu le coup de foudre, un rouge brique très vibrant. Et ce maillot m’a accompagnée tout l’été, aussi bien à Malaga qu’au Cap-Ferret, et il est parfait, la coupe est hyper flatteuse, il est très confortable et la qualité est très bonne !
5. Les bandes thermocollantes pour faire facilement des ourlets
J’ai l’air d’avoir découvert l’eau tiède avec cette histoire, mais je suis sûre que certaines n’ont pas essayé. Donc : un de mes problèmes avec les pantalons, c’est que comme je suis petite (1m60), beaucoup de pantalons sont vraiment trop longs. Depuis que je vivais à Orléans, je passais donc par la case retoucheuse (avant c’était ma maman, mais maintenant c’est compliqué), et j’avais trouvé une super couturière juste en bas de chez moi. Mais hélas elle a pris sa retraite, et celle que j’avais dénichée ne m’a pas convenu du tout (elle fait les retouches basiques en plus, mais j’ai bien compris que ce qui l’intéressait c’était les robes de mariée, elle m’a rendu mes affaires plus d’un mois après et la fermeture éclair qu’elle a changée n’a pas tenu — je n’ai pas trouvé de solution pour ce dernier point).
Bref : je ne sais pas coudre, je n’ai aucune intention d’apprendre, et j’ai fini par me dire que j’allais essayer de faire ça en mode facile, avec une bande thermocollante. Et étonnamment, cela fonctionne plutôt bien !
6. Une batterie externe pratique : iWalk
Ma précédente batterie externe était morte, et j’en cherchais une plus puissante et surtout plus pratique : lorsque je suis en vadrouille, ma batterie a du mal à faire la journée, mais honnêtement, transporter la batterie et le câble avec ce dernier qui pend et s’emmêle quand tout est branché, ça m’agaçait un peu. A force de chercher, je suis tombée sur le iWalk (lien affilié) : il est tout petit et se branche directement sur l’i.phone (mais il existe aussi en USBc), il se recharge rapidement et indique son pourcentage de charge, et il permet de recharger jusqu’à deux fois son appareil. Je vais bientôt changer de téléphone, mais je rachèterai sans hésiter !
7. Les séries
La loi de la plus forte (Netflix)
Une jolie série, drôle et pleine d’énergie, dans laquelle Malvis, une styliste noire et plus-size, se retrouve à devoir tout reconstruire dans sa vie suite à une rupture amoureuse. Une comédie sur laquelle Netflix n’a pas tellement communiqué, et qui a pourtant eu beaucoup de succès !
Little fires everywhere (Prime)
Un thriller (ce qui n’est pas mon genre à la base) basé sur un roman de Celeste Ng dans lequel Elena, une WASP à la limite de la caricature, loue son appartement à une artiste fauchée qui passe son temps à fuir un passé trouble, et à sa fille, ce qui se révèlera une décision hasardeuse. Une très bonne série, dans laquelle il est question d’art, de maternité et de liberté, qui m’a beaucoup fait réfléchir.
Geek Girl (Netflix)
Je suis passée à côté du phénomène des romans, mais j’ai beaucoup aimé cette série (a priori pour adolescents) dans laquelle une ado (dont on devine qu’elle est autiste mais ce n’est jamais dit clairement dans la saison 1) victime des moqueries des élèves populaires de son lycée voit sa vie changer du jour au lendemain lorsqu’elle est repéré par un agent de mannequin et devient une star. J’ai trouvé cette série mignonne comme tout, et en même temps elle fait pas mal réfléchir sur les question de harcèlement et de différence.
La Primera vez (2 saisons, Netflix)
Camilo, écrivain (on comprend donc mon intérêt pour la série) nous raconte en voix off son premier amour : dans la Colombie patriarcale des années 70, Eva est la première fille à devenir élève dans un lycée de garçons. Solaire, à la fois belle, intelligente et libre, elle sème le chaos en faisant découvrir aux petits mâles les joies de l’amour, les plaisirs de la vie, et leur enseigne que les femmes ne sont pas des serpillères. Chaque épisode porte le titre d’un livre, et en quelque sorte l’illustre. J’ai beaucoup aimé cette série (surtout la saison 2), à la fois drôle et touchante, et qui fait réfléchir à la société.
Le chemin de l’olivier (saison 2, Netflix)
Une série dont j’avais particulièrement apprécié la saison 1 et que j’ai retrouvée avec plaisir, même si j’ai eu un peu de mal au début à raccrocher les wagons. C’est une série qui nous permet de réfléchir aux blessures transgénérationnelles, et au pouvoir guérisseur de l’amour, dans des paysages absolument somptueux, et avec des femmes fortes. Quant à Ada, j’ai envie de lui piquer toutes ses robes !
Simone Biles Rising (Netflix)
J’ai été moyennement saisie par la fièvre olympique, mais j’ai été très intéressée par cette série documentaire consacrée à Simone Biles : il s’agit d’un documentaire très émouvant, et dans lequel il est plus question de résilience (attention cela parle d’agressions sexuelles) et de santé mentale que de sport, même si la gymnastique est un sport que je trouve intéressant à regarder ! Très inspirant, dans la série « le voyage de l’héroïne ».
8. Les films
La mère de la mariée (Netflix)
Une femme (Brooke Shield) découvre que le père du futur mari de sa fille n’est autre que son amour de jeunesse, qui l’a larguée du jour au lendemain. Un film cousu de fil blanc, bien évidemment, mais agréable à regarder, dans des décors paradisiaques, et je trouve de plus en plus appréciable de regarder des comédies romantiques mettant en scène des gens qui ont une vie derrière eux : je me sens plus concernée !
Les dessous de la famille (Netflix)
Une écrivaine veuve dans la cinquantaine (magnifique Nicole Kidman) tombe amoureuse du patron de sa fille, un acteur égocentrique de 16 ans son cadet. Une comédie romantique drôle et attachante, qui m’a plu pour les mêmes raisons que la précédente.
Le lagon bleu (disponible sur Netflix)
On retrouve Brooke Shield mais il y a 40 ans, dans ce film qui est son premier, que j’avais déjà vu un grand nombre de fois mais pas depuis une éternité. Et il m’émerveille à chaque fois : les paysages idylliques, la sensualité et l’amour, la loi de la nature plus forte que les carcans de la société et de la religion : une ode à la vie !
Et voilà ! Et vous, qu’avez-vous découvert de chouette ce mois-ci ?
Caroline Doudet 
Un petit mot ?