En mots et en images : juin 2017

Les mots…

Les dernières heures de l’année. Champagne ? Ah ben non, il n’y en a plus // Une robe rouge et une chaise longue à fleurs. Et quelques autres petites choses // Chiller sur ma chilienne // Définitivement, je suis une fille de l’été, du soleil et de la chaleur // My heart belongs to London… // L’impossibilité de me projeter sur la rentrée et de faire mes choix, tant mon vrai choix serait d’être ailleurs… // Mais faire des choix quand même // L’impression d’être Sisyphe : un problème de réglé, un autre qui toque à la porte // Les jours lumineux qui annoncent l’été qui vient // Paris en coup de vent. Petit déjeuner de rentrée littéraire dans un endroit au nom parfait pour moi (le Purgatoire) et déjeuner à la maison (enfin, au Flore quoi). Les gens qui me disent qu’ils pensent à moi dès qu’ils passent devant // Quelques macarons et le new-yorker // Plus envie de discuter // En colère, et pas qu’un peu, et après beaucoup de choses (et de gens). La liste serait trop longue à faire // En révolution // Mettre les mots sur les choses // En mode Lucifer châtie les enquiquineurs. Enquiquineur 1 : check. Enquiquineur 2 : check. Enquiquineur 3… ça va être plus coton // Qué calor // Forfait // Solstice d’été // Dans la chaleur de la nuit // Ecrire…// Sisyphe, toujours : à croire que le monde entier conspire à me nuire (ou en tout cas à me faire perdre du temps) // Les jours qui passent et me rapprochent de Lisbonne // Ecrire, j’ai dit ! 

Les images

En mots et en images : mai 2017

Les mots…

Le joli mois de mai et ses semaines à trous // Quelques brins de muguet // Sortir du bois et afficher clairement mes convictions, même si elles détonnent. L’impression, encore une fois, de ne pas être à ma place… // Paris // A La Rotonde. En terrasse // Soirée Gallimard, en attendant Bojangles. Champagne, paillettes et musique // Montparnasse by night // Petit déjeuner au Select, dans les vapeurs d’Hemingway // Une exposition passionnante // Déjeuner à la Closerie // Se promener encore, dans un temps flou // Mes pas qui quoi que je fasse essaient de me ramener à Saint-Germain // La vie inimitable, quoi // Bonjour, c’est pour l’annonce d’escort ! – Ah désolée vous vous êtes trompé de numéro // En colère, en résistance et en action // Un peu d’intelligence et de hauteur de vue, ça fait toujours du bien. // Ce moment où les gens de 39 ans font le bilan de leur vie et se disent qu’ils ont peut-être manqué d’ambition // Un certain agacement, à force // IKEA // Une forêt vierge dans ma salle de bain (j’en suis aux finitions de déco) // Week-end culturel à Bourges, sur les traces du Grand Cœur. Promenades, musées et apéritifs en terrasse (qui a dit comme d’habitude ?) // En avant // Plus envie de discuter… // Passion pivoines // Triste. Et un temps à l’images de ma mélancolie. Ne pas pouvoir distordre ma vie ni qui je suis mais avoir pourtant l’impression qu’elle se fissure // Mais c’était peut-être ça, cette intuition. De toute les mauvaises idées que j’ai eues de ma vie, c’est peut-être la pire. Envie quand même. A cause de la Mort des Amants // Les montagnes russes. Il est temps que les vacances arrivent // Ressortir les vêtements d’été // Sous le soleil // Le bonheur des choses simples. Marcher pieds nus sur le carrelage chaud du balcon. Un café au soleil. Danser dans le salon. Faire tourner ma robe vichy vintage // Et les ballerines à paillettes ! // Faire mes choix pour la Rentrée Littéraire // Manchester… // Et Roger Moore. Le crush de mon adolescence. Simon Templar. James Bond. Brett Sinclair. Le modèle très aristocratique et très anglais de certains de mes personnages // Première soirée dans le jardin. Piscine et brasero (parce que les nuits sont encore un peu fraîches) // Le champagne chez vous, c’est toutes les semaines (j’ai bien travaillé ma réputation) // Oh les beaux jours ! Lire sur le balcon. Manger sur le balcon. Vivre sur le balcon // La dolce vita. Un verre en terrasse avec Pierre Raufast // Les dernières heures…

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En mots et en images : avril 2017

Les mots…

Un mois plus calme ? // Un bouquet de tulipes pour célébrer les beaux jours // Soirée tranquille, film et pop-corn // L’odeur de la pluie // Au bord de la désagrégation // Faire une blague beaucoup trop subtile que du coup personne ne saisit. Moi, génie incompris // Vacaaaaaaaances // Les pivoines dans le jardin // Finir plus tôt et m’arrêter au marché // Oh les beaux jours ! // Sur la route // Campanule et arbres en fleurs. Thé, macarons et apéritifs en terrasse // Home sweet home // Les gens qui semblent perdre leur faculté à réfléchir à l’approche des élections // Je n’aime vraiment pas qu’on me force la main. Et en général, d’ailleurs, plus on essaie, moins on y parvient… // Paris mon amour. Des cafés en terrasse. Des expos. Un déjeuner à la Rotonde*. Du soleil. Une visite aux mânes des écrivains. Un bisou à mon éditeur de trucs olé olé (comme dit ma maman). Et puis la vie, tant qu’il y en a et qu’elle peut être inimitable // Pas longtemps. Paris, encore, mais cette fois c’est la violence et les larmes. Fluctuat nec mergitur // Jour d’angoisse. Y aller tout de même malgré l’impression d’un coup d’épée dans l’eau. Avec mon passeport, estampillé « Union Européenne » // Faire de la brioche perdue en attendant les résultats // Danser sur un volcan peut-être, mais danser jusqu’au bout // Le dernier jour. Libérée, délivrée enfin de mon ancien appartement // La politique de la terre brûlée et de l’inconscience // je ne négocie plus je dynamite, j’explose, je ventile façon puzzle // Birthblog // Essayer de garder l’espoir, tout de même // Quelques jours de repos // De plus en plus séduite // Rêves de grandeur… Mégalomane, moi ? Mais non (ou si)…

* Choix totalement innocent et qui s’est révélé, quelques jours après, relativement prophétique et symbolique…

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En mots et en images : Mars 2017

Les mots…

Un mois qui s’annonce mouvementé // Commencer le transfert par des objets symboliques : mon manuscrit, un livre que j’ai publié, une paire de chaussures, une robe de soirée et une bouteille de champagne // Ce n’est pas que je suis superstitieuse, hein, mais tout de même // Une semaine à naviguer entre deux appartements // D. Day // ça fait du bien quand c’est terminé // Retrouver petit à petit mon quotidien // Les arbres en fleurs et la douce chaleur du printemps qui arrive // Toutes ces premières fois qui rendent la vie plus belle // Profiter du balcon. Entendre le chant des oiseaux et avoir vue sur le jardin, à la place de la rue et des voitures // Une merveilleuse journée. Des fleurs et un plateau de fromages, du soleil et plein de messages dans toutes les langues // Apprivoiser peu à peu mon nouveau décor // A l’opéra. Aïda. Sublime // Un appel venu de Portobello Road // Welcome spring // Zen, restons zen (mais c’est pas facile) // London. Standing together… // Suivre François Busnel quoi qu’il fasse (sauf à Livre Paris parce que je ne peux pas me dédoubler). Me précipiter pour découvrir America // Enjoy life with style // Un week-end intense. Paris, de belles rencontres, de beaux moments, des cocktails, des rires, Livre Paris, le Mazarine Book Day, une soirée chez Charleston, Paris by night, Le Flore, une pluie de fleurs de cerisiers, des cafés en terrasse, un petit déjeuner pour découvrir de nouvelles parutions, du champagne, des gens fascinants. Des macarons. Une valise très très lourde. Une fatigue intense. Mais un bonheur infini // Le choc des civilisations // Tout un tube de café et une bassine d’anti-cernes en intraveineuse. Ou l’inverse… // Heureusement qu’il fait beau et que je peux garder mes Aviator vissées sur mon nez // Les gens sont toqués, en fait (ce n’est pas une découverte, mais enfin, tout de même) // Du mal à revenir au pseudo-réel, même dans mon appartement tout beau // Appuyer sur la touche envoi // Ouvrir la baie vitrée et faire comme en été

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En mots et en images : février 2017

Les mots…

Toujours dans les cartons. Le rangement, c’est maintenant // Des crêpes // Memories // Vivement que tout ça soit terminé et que je sois dans mon nouveau décor // In the mood for Portugal // Les jours coulent comme l’eau entre les doigts ouverts. L’argent aussi, soit dit en passant // Ma déesse qui m’attend patiemment // A force de voyager il finira bien par trouver sa maison // Une nouvelle publication pour avril. Toujours pas mon roman, mais ça fait plaisir // Un an… // Une journée à Paris. Un peu de rive droite. Descendre tout le boulevard saint-Germain. M’arrêter bien sûr au Flore. Goûter chez Ladurée d’une religieuse à la rose et d’un champagne sans alcool très bon. Passer chez Diptyque m’acheter de jolies choses pour l’appartement. Rentrer reboostée // Dites, ma voiture, vous la refaites en entier ou quoi ? // Réponse : oui. Ils ont mis du temps, mais je récupère ma chérie propre comme un sous neuf et sans plus aucune rayure, et ça, c’est chouette, même si c’est pour m’en séparer // Hot as Hell // Le réel, c’est compliqué et je ne sais pas trop faire avec. Vivement que je puisse à nouveau me consacrer exclusivement au monde non-réel // En mode démone de l’Enfer. Mais pourquoi en ce moment les gens se liguent pour me faire sortir de mes gonds ? // Ça y est, ma petite voiture est partie. Elle va me manquer, quand même // By train // Campanule // Ma déesse // Faire les magasins d’usine. Madeleines et porcelaine // ttttttssssss // Fais comme Marcel Proust. Une petite madeleine trempée dans du thé // Sur la route avec mon petit bolide rouge // Home (mais plus pour longtemps) // Des bibliothèques toutes vides, ça fait bizarre. Un mur de cartons de livres aussi // Des listes et des listes d’achats. Et au milieu, réserver un week-end à Paris // Signer un nouveau contrat d’auteur dans un rayon de soleil // Une nouvelle petite plante // L’autre jour des crêpes // Les clés de ma nouvelle vie

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En mots et en images : janvier 2017

Les mots…

Changer d’année en bonne compagnie. Des rires, des baisers, du champagne // Un livre de 365 pages à écrire // Pas de bonnes résolutions, mais de l’enthousiasme et de la détermination // Home sweet home. Retrouver mon chez moi et installer les nouvelles choses dans mon quotidien. George la machine à café qui va être indispensable. Des peintures au-dessus de mon lit. Des nouveaux bijoux précieux // Recevoir mon premier chèque de droits d’auteur (érotique) : je trouve que c’est un joli signe pour commencer l’année // Ranger les jolies décorations de Noël. A dans quelques mois, sweeties… // Réserver mon city trip estival et pouvoir commencer à me projeter dans une ville nouvelle // Une journée productive et un beau projet qui prend forme // Ecrire des cartes de vœux pour répandre l’amour autour de moi // Un temps à rester sous la couette // 2 ans… // C’est moi la Reine. Mais ça, on le savait déjà // Mettre le point final à un projet excitant // Cocooning, plaid tout doux et lectures toutes belles // Ça, ça fait plaisir à entendre // Se ressourcer dans les jolies choses // Et recommencer à écrire. Il était temps // Le changement, c’est maintenant : bientôt une nouvelle voiture, un nouveau téléphone, et peut-être un nouvel appartement ? // La loi de l’emmerdement maximum // Ce qui est bien quand on envoie des cartes de vœux, c’est aussi d’en recevoir en retour, et qu’autant d’amour et de belles pensées qui circulent, ça ne peut que générer des ondes positives // Changement de décor acté. Se projeter. Mesurer. Faire des plans // Déménagement urgence number 1 : trier les livres. Résolution number 1 : ne plus me laisser déborder et me défaire régulièrement de ceux auxquels je ne tiens pas // Urgence number 2 : classer les papiers. Résolution number 2 : les classer correctement au fur et à mesure // Il neige // Continuer le tri. Impression d’être Sisyphe // Vivement le printemps que tout soit terminé, le déménagement, l’hiver, la voiture…

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janvier-2017

Lettre à 2017

Cher 2017,

tu es tout jeune encore, tu es né cette nuit dans les rires, les baisers, les robes de fête et les bouchons de champagne qui sautent, ce qui est un bon début dans la vie : tu me connais, je suis d’avis que toutes les occasions sont bonnes pour les bulles dorées ou rosées. Alors une naissance ! Donc, bienvenue, 2017 !

Je ne vais pas te faire un long discours. Je pense que tu sais ce que j’attends de toi : de la magie. Je sais, tu ne t’appelle pas Merlin l’Enchanteur, mais tout de même, je ne veux pas un grand miracle non plus. Je veux un coup de téléphone d’un éditeur, un matin (ou un soir, je ne suis pas regardante sur les horaires) pour me dire qu’il a aimé mon manuscrit et qu’il veut le publier. Voilà, c’est la grande mission que je te confie : que tu me remettes enfin sur ma voie.

Je veux aussi, bien sûr, est-ce utile de le préciser, que les gens que j’aime aillent bien et soient heureux.

Je veux que le monde aille mieux et que la magie de l’amour s’empare de tous. On dirait un discours de Miss France, je sais, mais c’est le 1er janvier, j’ai le droit d’être guimauve non ?

Allez, 2017, ne nous déçoit pas ! On croit en toi !
Bisous

A tous, je vous souhaite une année 2017 pleine de magie et de fête !