Un de mes plaisirs du retour de vacances : m’occuper de ma collection de coquillages, réellement débutée en 2019.
J’aime passionnément, dès que je suis revenue chez moi, les nettoyer, les faire sécher, puis les regarder un à un, trouver le nom de certains, les organiser par variété et par couleur. Puis les mettre dans un bocal, inscrire l’année, et le placer à côté des autres. Cette année, j’ai aussi ressorti les années précédentes pour laver les bocaux, et j’en ai profité pour trier un peu, et consacrer un bocal spécial aux tout petits, qui étaient un peu noyés.
Bien sûr, d’une année sur l’autre, comme je vais au même endroit, je trouve les mêmes espèces, dans des quantités diverses, mais cela reste une joie ; cette année encore, j’ai ramassé beaucoup d’anomies, qui restent mes préférées avec les donaces ; des pétoncles, des bigorneaux perceurs et non perceurs, des gibbules, quelques couteaux, qui deviennent rares, des petites coques et coques lisses, des mactres, des lucines, quelques tellines, des vernis, des bucardes, et bien sûr des huîtres patinées et parfois dentelées (les huîtres fossiles datent de l’an dernier).
Du verre dépoli, dont deux morceaux absolument magnifiques ! Pas de turritelles ni de dentales (qui se font très rares), pas de grains de café ni de patelles et fissurelles ni de crépidules (je ne suis pas allée à l’île d’Oléron).
Et puis, il y a ceux que je ne trouve jamais parce qu’ils sont plus hauts sur le littoral, et que je rêve d’ajouter à ma collection, notamment les littorines. Et maintenant, je rêve d’un petit séjour en Normandie pour en trouver (inutile de proposer de m’en envoyer même si c’est gentil : ce qui m’intéresse ce n’est pas d’ajouter le coquillage à ma collection, c’est de le ramasser moi-même et qu’il soit lié à un souvenir).
Certains sont organisés en sous-collections : le verre dépoli, les minuscules, les galets en forme de cœur…
Et vous, vous aimez ramasser des coquillages ?



















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