Favoris de juin 2024

Ce mois de juin fut très riche en belles découvertes dans tous les domaines, et je suis heureuse de les partager avec vous.

1. Les espadrilles Angarde

Cela faisait longtemps que j’avais envie de m’offrir une paire d’espadrilles Angarde : j’adore les espadrilles, c’est une chaussure parfaite pour marcher l’été, mais je trouve que les basiques en corde que l’on trouve sur les marchés sont trop… basiques justement, et j’avais dans ma ligne de mire celles de cette marque, qui ressemblent un peu à un mélange d’espadrilles et de frioulane. J’ai donc fini par craquer.

Bonne pioche : elles sont très jolies, je les trouve à la fois cool et élégantes et elles seront parfaites pour mon voyage à Malaga quand je les aurai un peu détendues (elles sont un peu serrées sur le dessus du pied). Evidemment, avec la météo je n’ai pas encore pu beaucoup les porter mais ça va bien venir. J’ai pris les noires.

2. Les bougies d’Orsay

En matière de bougies, je suis assez fidèle à la marque Diptyque mais une copine m’a tentée avec la marque d’Orsay, et plus spécifiquement la collection en collaboration avec Laetitia Rouget, proposée dans un magnifique pot en céramique, en édition limitée. L’odeur est une merveille (citron, Néroli, Figue) et le pot, absolument ravissant, est tout à fait dans le style de chez moi et resservira à coup sûr !

Bougies d'Orsay

3. Les Bretzels « Mes ptits apéros »

On change totalement de gamme de prix. Il faut savoir que je suis assez difficile avec les bretzels, j’adore ça mais les trucs apéros qu’on nous vend sous ce nom, ce n’est guère réussi. Je suis tombé l’autre jour sur la marque J. A Epicerie fine et ses produits « Mes ptits apéros », j’ai voulu goûter et je suis totalement convaincue, ils sont vraiment excellents. Je goûterai d’ailleurs les autres produits de la marque, qui a priori se trouve en épicerie fine.

4. La collection voyage de Sostrene Grene

J’ai déjà parlé de mon goût très prononcé pour la marque Sostrene Grene, et j’y suis passée l’autre jour parce que j’avais repéré certains produits de leur collection voyage, et notamment de très jolis organisateurs de valise, mais aussi des petits flacons pour transvaser ses produits de beauté, mais aussi… bref, j’ai trouvé tout ce dont j’avais besoin (et même ce dont je n’avais pas besoin), le tout très joli et harmonieux.

6. La glace à la pistache de Sébastien Papion

Evidemment, seuls ceux habitant à Orléans ou étant prêts à faire des kilomètres pour manger une glace pourront la goûter, mais je tenais tout de même à la mettre dans cette liste. Il faut savoir que la pistache est ma saveur référence en matière de glace, c’est celle que je prends tout le temps pour pouvoir hiérarchiser les glaciers. Et mon niveau d’exigence est haut, notamment par rapport aux gelati italiennes.

Mais Sébastien Papion sait nous régaler, pas seulement avec ses chocolats, mais aussi l’été avec ses glaces, et celle à la pistache (j’ai pris la version avec la pâte à tartiner) est une des meilleurs glaces à la pistache que j’ai mangée de ma vie, et donc je m’y connais !

7. Le support de téléphone Elitehood

Un produit très spécifique qui ne sera pas utile à tout le monde, mais on ne sait jamais. Cela faisait un temps certain que je cherchais un support de téléphone pour filmer les vidéos à plat, car ce que j’avais n’était pas pratique. Ni la lightring, ni le bras articulé, ni même mon trépied photo sur lequel j’avais installé un support pour le téléphone ne convenait : soit ce n’était pas stable, soit c’était une galère pour qu’on ne voit pas le pied sur les images, soit c’était les deux problèmes à la fois. Et ce que je trouvais ici ou là n’avait pas l’air bien solide.

Et à force de recherches je suis tombée sur celui de la marque Elitehood (lien affilié) : alors il est lourd et un peu encombrant, mais par contre il est très stable, et je peux enfin faire ce que je voulais faire.

8. Les films

L’Amour au pied du mur (Netflix)

Une musicienne emménage dans un appartement très mal insonorisé. Son voisin est un inventeur intolérant au moindre bruit, qui se met en tête de la faire fuir pour retrouver sa tranquillité. Ce n’est bien sûr pas ce qui va se passer… J’ai trouvé ce film très mignon est assez drôle, parfait pour passer une bonne soirée sous un plaid (oui, on en est encore là).

Mother’s Day (Prime)

J’adore Garry Marshall et pourtant je n’avais jamais vu cette comédie romantique chorale sur le thème, comme son nom l’indique, de la fête des mères. Une jolie comédie, drôle et touchante, comme Marshall sait si bien les faire !

La probabilité statistique de l’amour au premier regard (Netflix)

Plutôt un film de Noël, mais vue la météo… bref, un film comme je les aime, sur l’amour, le destin et les probabilités, à la fois drôle et émouvant !

9. Les séries

The New Look (Apple TV)

La série raconte le monde de la haute couture pendant et après la seconde guerre mondiale, et en particulier Coco Chanel, Cristobal Balenciaga, Pierre Balmain Lucien Lelong et surtout Christian Dior, infiniment touchant. Le sujet, c’est finalement la manière dont après la guerre la création et la mode ont aidé au retour de la joie, de l’espoir et de la beauté dans le monde. Il n’y a pas besoin d’être amateur de mode pour apprécier cette série émouvante et esthétiquement sublime, mais les amateurs comme moi se régaleront.

Bridgerton saison 3 (Netflix)

Evidemment : je suis toquée de cette série, j’ai même failli acheter les livres l’autre jour. Cette saison est centrée sur Colin et Penelope, avec un peu de Francesca et du Benedict qui fait des choses assez olé olé. A priori la saison a déplu à ceux qui ont lu les livres, mais j’ai personnellement beaucoup aimé alors que Penelope et Colin n’étaient pas forcément des personnages qui me faisaient palpiter au départ, mais j’ai aimé les voir évoluer. Benedict est mon nouveau crush, et je suis toujours aussi amoureuse des costumes.

Chloé (Prime)

Toute autre ambiance avec ce thriller dans lequel une jeune femme mal dans sa peau et dans sa vie s’invente une nouvelle identité pour infiltrer l’entourage de sa meilleure amie d’enfance, dont elle n’avait plus de nouvelles mais qui l’a appelée avant de mourir mystérieusement. C’est assez prenant et bien fait !

Et voilà ! Et vous, qu’avez-vous découvert de chouette ce mois-ci ?

10 newsletters à lire pour s’inspirer

Après les podcasts et les applications, je vous propose une petite liste de newsletters, les précédents articles ayant été supprimés car largement obsolètes.

1. De beaux lendemains de Géraldine Dormoy

La newsletter de Géraldine, qui paraît tous les vendredis, est vraiment une de mes préférées. J’aime beaucoup l’éclectisme des sujets, le ton, et les réflexions très personnelles qui conduisent à se questionner soi-même. Bien sûr, je suis plus ou moins inspirée et concernée selon les sujets, mais c’est vraiment un plaisir de retrouver Géraldine tous les vendredi.

2. From Baïona with love, de Nathalie Longevial

Une autre lettre (en français, malgré le titre) qui paraît tous les vendredi, histoire de bien commencer le week-end. Là encore des réflexions sur la vie, sur l’écriture aussi puisque Nathalie est autrice, et j’aime beaucoup le ton, plein d’humour mais aussi parfois extrêmement poétique.

3. Les promesses du cœur de Colombe Paland

Une très jolie lettre qui paraît le jeudi : la plume délicate de Colombe me touche infiniment et les sujets qu’elle aborde, son cheminement personnel, beaucoup également.

4. La petite lettre de Venusia Bertin

Une autre lettre très intimiste (je crois que c’est ce que je préfère) qui nous parle de découverte, de voyage, d’art, de la vie en général d’une manière très agréable et personnelle. Un petit bonbon.

5. Les nouveaux travailleurs d’Isis Latorre

J’ai découvert Isis Latorre avec son manuel sur l’autoédition, que j’avais trouvé très complet et bien fait. Je me suis ensuite intéressée au reste de son contenu, et notamment à sa newsletter, dans laquelle on suit ses questionnements professionnels et personnels pour trouver sa place : ses interrogations sont souvent assez proches des miennes, et sa lettre m’a permis pas mal de prises de conscience. Elle est très logiquement devenue un de mes indispensables.

6. Le Debrief de Charlotte Moreau

Une newsletter mensuelle qui me touche beaucoup, j’aime lire Charlotte sur des sujets variés et elle parvient toujours à trouver le mot juste.

7. La newsletter d’Ali di Firenze

Je pense que c’est la seule newsletter de marque (mais une jolie marque très personnelle) que je lis systématiquement. J’aime l’ambiance « joie de vivre à l’italienne », les réflexions sur le beau, la vie, le regard d’Alice sur le monde m’inspire beaucoup !

8. CDLT

Une newsletter très différente des autres puisqu’elle nous parle du monde du travail, mais avec un ton unique, très drôle et décalé, mais le propos et les réflexions restent extrêmement sérieux. La lettre est souvent longue, les sujets creusés, et si les prises de position sont tranchées, cela donne matière à réflexion.

9. Les glorieuses

Une newsletter féministe qui fait réfléchir, et qui permet nombre de découvertes littéraires et artistiques.

10. TTSO

J’avais arrêté de la lire, j’avoue que j’ai parfois du mal à tenir le rythme quotidien, mais je m’y suis remise : tous les soirs, recevoir un décryptage de l’actualité du jour, avec des liens pour creuser, fait du bien aux neurones. Et j’aime beaucoup le ton.

Et voilà ! Et vous vous avez des newsletters à me conseiller ? Je vous rappelle d’ailleurs que la mienne est formidable aussi !

Créations florales

Un de mes objectifs pour 2024 est de m’initier à de nouvelles disciplines créatives. Autant dire que cet objectif a du plomb dans l’aile (les autres aussi, remarquez) : à part mon stage de calligraphie en janvier, je n’ai rien trouvé qui me convenait. Pire : je n’étais pas revenue à mon cours d’art floral depuis le mois de juin dernier, faute de disponibilité.

Mardi, les planètes étaient alignées, j’avais pu m’inscrire et j’avais défendu bec et ongles mon créneau contre toute obligation. Cela tombait d’autant mieux que je suis en train de terminer mon livre sur les cinq sens qui paraîtra à la fin du mois. Et quoi de plus sensoriel que les fleurs et l’art floral  ?

Ce qui m’a amusée, c’est que nous avons fabriqué un bateau. La métaphore sur laquelle est construit mon précédent livre. Je me suis dit que c’était un petit clin d’oeil amusant de la vie !

Les dix applications indispensables au quotidien

Comme pour les podcasts, je me suis rendu compte que le précédent article que j’avais rédigé concernant les applications était largement obsolète, c’est pourquoi j’ai décidé de la refaire. Je n’inclus pas dans cette liste les applications de réseaux sociaux et apparentés, qui n’ont pas grand intérêt. Je mets les liens vers l’Apple Store, mais la plupart doivent également exister sur Google Play.

1. Orange Téléphone pour avoir la paix

Il n’est pas nécessaire d’être abonné Orange pour utiliser cette application qui améliore mon bien-être en bloquant les numéros entrants des démarcheurs et autres enquiquineurs qui allaient finir par me rendre maboule à m’appeler 25 fois par jour (je ne répondais pas, mais j’étais tout de même dérangée, et c’est la raison pour laquelle je n’ai pas de téléphone fixe). Son efficacité repose sur la communauté, les numéros importuns étant déclarés comme tels par les autres utilisateurs, et il faut la relancer régulièrement pour qu’elle soit à jour, mais le gain de tranquillité est fabuleux !

(Edit : apparemment, cette fonctionnalité disparaît dans la version gratuite).

2. Apple podcast

Alors je le mets dans la liste parce que de fait je m’en sers tous les jours et qu’il m’est absolument indispensable, mais je n’en suis pas totalement satisfaite car pour l’instant je n’arrive pas à organiser ma liste de lecture comme je le souhaite : mon application de podcast préférée c’était Google Podcast, mais elle va disparaître au 24 juin et la solution proposée avec YouTube ne me convient pas.

3. Notion

Je vous ai déjà parlé de Notion, dont je suis loin d’utiliser toute la richesse, et je l’utilise surtout sur ordinateur, mais l’application m’est très utile lorsque je n’ai pas mon ordinateur à proximité et la synchronisation rend tout extrêmement fluide.

4. Notes

Je sais, je pourrais utiliser Notion, et il existe des dizaines d’applications réservées à la prise de note, mais je trouve que l’application native de l’IPhone est ce qui se fait de plus simple et de plus rapide pour prendre des notes à la volée en cours de journée.

5. Lightroom (version gratuite)

Je n’ai pas trouvé mieux pour la retouche photo : la version gratuite offre une grande richesse de possibilités et est largement suffisante pour faire du bon travail de retouche, et ajouter des filtres personnalisés, que l’on peut acheter (on en trouve sur Etsy) ou fabriquer soi-même, comme le filtre rosé que j’applique sur toutes mes photos et qui me permet d’avoir un feed harmonieux.

Pour les retouches qui sont payantes, je complète avec Snapseed (notamment pour la correction de la perspective) et TouchRetouch pour effacer des objets ou des gens assez facilement. Pour prévisualiser mon feed Instagram, j’utilise Preview.

6. Canva

J’utilise Canva à peu près pour tout et notamment les template de story, mais aussi pour faire des présentations : j’utilise plutôt la version web, mais l’application permet de se servir du smartphone comme d’une télécommande pour faire défiler les diapositives, et c’est merveilleux. Je l’utilise aussi pour le montage vidéo, même si actuellement j’utilise aussi pas mal CapCut.

7. The Pattern

Une des très rares applications que j’autorise à m’envoyer des notifications : chaque matin cette application d’astrologie m’envoie un point simple à comprendre sur les énergies du jour, ou bien sur mes traits de caractère importants, et c’est souvent très juste.

8. Life

L’application de suivi de mon cycle menstruel que j’utilise depuis de nombreuses années et qui a été récemment mise à jour, avec une version encore meilleure. Elle me permet de tout noter (les humeurs, douleurs et autres faits importants), de savoir à peu près où j’en suis (à peu près parce que chez moi ça a toujours été très aléatoire, mais alors avec l’entrée dans la préménopause c’est du grand n’importe quoi).

Et pour moi qui ai vraiment tendance à oublier, recevoir une notification pour me rappeler que mes règles arrivent bientôt, ou les visualiser sur un calendrier, cela m’est bien utile !

9. Happier

L’application développée par Gretchen Rubin (ou son équipe) : des outils, des challenge (et notamment des déclencheurs d’écriture), des conseils, des suivis d’habitudes… une application assez riche que je n’ai pas fini d’explorer. Il existe une version gratuite, mais on peut aussi s’abonner pour plus de contenus.

10. Google

La base, Google me sert pour tout mais version application, j’aime particulièrement la recherche par photo qui est particulièrement efficace pour retrouver la robe que l’on vient de croiser ou une qui est similaire, quelle est cette fleur ou l’artiste qui a peint tel tableau !

Et voilà ! Et vous, de quelles applications vous ne pouvez pas vous passer (d’ailleurs, si vous avez une bonne application de podcast à me conseiller, qui me permet de choisir les épisodes que je veux effectivement écouter même quand je suis abonner et de les organiser dans l’ordre où je veux les écouter, ça m’aiderait) ?

Les 10 podcasts dont je suis une fidèle auditrice

J’avais fait plusieurs articles podcast par le passé, mais je les ai tous effacés dans mon grand tri (que j’ai enfin terminé) : on ne s’y retrouvait plus, certains ont disparu ou bien j’ai cessé de les écouter. J’ai donc décidé de refaire une liste.

Les podcasts me sont indispensables : comme je n’écoute que peu de musique, j’en ai besoin notamment lorsque je conduis. Je suis fort marrie d’ailleurs que Google Podcast disparaisse, car c’est la seule application qui convenait à ma manière d’écouter mais enfin, je suis revenue à Apple Podcast, je vais bien réussir à m’y faire.

Pour les podcasts eux-mêmes, il y a deux catégories : ceux dont j’écoute religieusement chaque épisode, et ceux dont je n’écoute que quelques épisodes lorsque le sujet m’intéresse.

Les podcasts dont j’écoute religieusement chaque épisode

Change ma vie, de Clotilde Dusoulier

Qui n’écoute pas ce podcast ? Pour ma part, je l’ai découvert assez tardivement il y a environ quatre ans, et après avoir écouté tous les épisodes publiés jusqu’alors, j’en ai fait un de mes indispensables : les épisodes sont en général assez courts, mais riches et percutants, sur des sujets très variés qui reviennent parfois en changeant l’angle d’approche. C’est très inspirant, et donne matière à réflexion. Clotilde vient de publier un livre, dont nous reparlerons vendredi.

Ressentir, de Jessica Troisfontaine

J’ai parlé de ce podcast dans un précédent article favori, et c’est vraiment mon coup de cœur du moment : des conversations intimes avec des personnalités qui, si elles ne m’intéressent pas toutes a priori, ont toujours quelque chose à m’apporter, et que j’ai toujours pris plaisir à découvrir. Et j’aime énormément la sensibilité et la bienveillance de Jessica, qui possède un vrai don pour conduire ses interlocuteurs à la confession. Un podcast tout en authenticité et vulnérabilité.

La vie suffit, de Chloé Bloom

Un des seuls podcasts « spiritualité » que j’écoute encore : même si je ne suis pas toujours complètement d’accord avec elle sur certains sujets, j’aime l’approche de Chloé, à la fois cash et pragmatique. D’autant qu’elle-même évolue beaucoup au fil des épisodes, et j’apprécie beaucoup de voir comme ça les gens évoluer.

Les podcasts que j’écoute régulièrement en fonction des épisodes

Le podcast de Pauline Laigneau

Très axé business et entreprenariat, j’ai beaucoup écouté ce podcast à une époque, un peu moins à présent mais certains sujets m’intéressent, Pauline et de bon conseil et elle apporte une approche originale sur certains points, ce qui permet d’ouvrir la réflexion.

Psychogénéalogie et Cie de Sophie Duverne

Un podcast découvert le mois dernier, et dont je suis en train d’écouter les épisodes qui « résonnent » avec mes propres problématiques, à savoir pas tous, mais beaucoup tout de même : dans son podcast, Sophie nous emmène à la découverte de la psychogénéalogie et la manière dont certains événements vécus par nos ancêtres peuvent influer sur nous de manière totalement inconsciente. Je pense que ce podcast est tombé à pic pour moi, et je vous le conseille vraiment car je pense que nous sommes tous, plus ou moins, concernés !

Beyond Yourself de Julie Danet

Un podcast plutôt axé entrepreneuriat a priori, en tout cas « état d’esprit » : tous les sujets proposés ne m’intéressent pas, mais néanmoins je l’écoute régulièrement sur des points précis, et il provoque souvent des prises de conscience et m’ouvre à la réflexion.

Métamorphose, d’Anne Ghesquière

Je l’écoute moins qu’à une époque, non seulement parce que mon cheminement m’a conduite à m’éloigner un peu de la spiritualité (ou plutôt à lui donner une autre place dans ma vie) mais aussi parce qu’avec 3 épisodes par semaine, je n’arrive pas à suivre, et je n’écoute que ce qui m’intéresse vraiment, par le sujet ou par l’invité. Mais à chaque fois, je suis ravie, nourrie et inspirée !

Café créatif de Florie Vine

Anciennement « Bulles nomades », ce podcast propose des réflexions assez personnelles sur la créativité, ce que c’est qu’être « artiste plurielle et slow » : je trouve que le contenu a un peu tendance à se répéter et c’est pour cela que je ne l’écoute pas systématiquement, mais je trouve l’approche de Florie intéressante et poétique et de temps en temps c’est agréable.

Deviens acteur de ta vie de Laura Pouliquen

Anciennement « L’Aléa » (et j’avoue que je préférais ce nom moins « développement personnel ») : j’ai découvert ce podcast parce que Laura avait invité quelqu’un qui m’intéressait, et j’ai pris beaucoup de plaisir à cette découverte, et notamment les épisodes « parcours » qui sont toujours intéressants et inspirants. Les épisodes solo, dans lesquels Laura se livre sur des sujets divers, et les interviews d’experts, sont très intéressants également.

La pépite, de Cécile Bonnimond

Je le mets dans ma liste, mais je ne sais pas ce que ça va donner suite au rebranding : il s’agissait au départ d’un podcast axé tarot, grâce auquel j’ai appris beaucoup de choses et progressé ; il est devenu plus entrepreneurial, à destination des acteurs du bien-être, et parle davantage de stratégie, de business, de marketing, ce qui peut m’intéresser à l’occasion.

J’ajoute à la liste Emotions, que j’ai beaucoup écouté à une époque et dont je me suis lassée car je le trouve assez répétitif, mais que j’écoute encore de temps en temps, et Etat de Flow d’Elisabeth Smeysters, que j’adore et que je trouve toujours très inspirant, mais dont les épisodes se font malheureusement rares.

Et vous, qu’écoutez-vous comme podcasts ? Avez-vous de belles découvertes à me conseiller ?

Favoris de mai 2024

Et c’est déjà la fin du mois de mai. J’aurais bien écrit « du joli mois de mai » mais malheureusement, s’il y a une chose que j’ai détestée en mai, c’est bien sa météo abominable, à part miraculeusement lors de ma petite expédition récréative. A part ça, ce que j’ai aimé en mai :

1. Les Confettis :

C’est un magazine dont je vous avais parlé il y a plusieurs années, et en corrigeant mon article je me suis rendu compte que je ne l’avais pas acheté depuis fort longtemps. Il faut dire que je n’aime pas les abonnements, et comme le rythme de parution est bisannuel et qu’on ne le trouve pas dans le réseau de distribution traditionnel, j’oublie.

Avec ce rappel, j’ai commandé deux numéros, et j’ai à nouveau pris un très vif plaisir à cette lecture, et à ces portraits de femmes aux parcours très divers, mais toujours inspirantes. Si vous ne connaissez pas, foncez, c’est tout ce que j’aime : de la beauté, de l’élégance, de la créativité.

Les confettis
Les confettis

2. La faïencerie de Gien :

Je pense que dans une vie précédente j’ai dû être une aristocrate ou une cocotte de luxe ou un truc comme ça, mais le fait est que j’aime les beaux objets et notamment la belle vaisselle, et lorsque mon road trip du mois de mai a commencé avec la visite du musée de la faïencerie de Gien et donc de la boutique d’usine, j’ai failli avoir un orgasme et j’ai dû me restreindre.

C’est une boutique d’usine : logiquement, il n’y a pas tous les modèles (je n’ai rien trouvé dans la collection Dionysos dont j’avais déjà un petit bol) et les objets proposés ont de petits défauts (qui se voient très très peu). Cela reste de très belles choses, à parsemer dans la maison. J’ai porté mon choix sur un ravier de la collection Gien X Antoinette Poisson, un porte carte XL, et deux assiettes à mignardise d’une ancienne collection Monoprix.

Et ça met du beau et de l’élégant dans mon intérieur ! (Je vous ai mis les liens vers la boutique en ligne qui ne propose pas les prix d’usine)

3. La collection à la rose anglaise de The Body Shop

En ce moment, j’ai un truc avec la rose : j’ai besoin de me nourrir de son odeur, et j’ai acheté beaucoup de produits de beauté à la rose. Je vous en reparlerai dans les produits terminés, mais je voulais tout de même mentionner ici ceux de The Body Shop, parce qu’ils sont un véritable coup de cœur, et en particulier le gel douche, et le beurre corporel (lien affilié) : ce dernier produit est un de mes indispensables et j’en ai déjà parlé, mais habituellement je reste fidèle à la senteur « Shea ».

Mais le beurre à la rose… une merveille absolue : à l’hydratation parfaite de la gamme, il ajoute une odeur merveilleuse, qui donne l’impression d’être enveloppé de douceur.

The Body Shop
The Body Shop

4. L’huile démaquillante Centella d’Erborian

(Lien affilié). Dans mes derniers produits terminés je vous expliquais que j’avais changé ma routine démaquillage et que j’étais passée à l’huile démaquillante. J’adore le geste du massage pour ôter les résidus de maquillage et toutes les saletés de la journée déposées sur la peau, mais celle que j’avais choisie me rendait à moitié aveugle pour le reste de la soirée, ce qui on en conviendra était ennuyeux, et je m’étais donc mise en quête d’un autre produit qui n’aurait pas cet inconvénient.

Je n’ai pas eu à chercher longtemps : je me suis dirigée vers la marque Erborian, une valeur sûre, et bonne pioche : l’huile est légère, elle démaquille parfaitement, est très agréable à utiliser, l’odeur est très délicate, et elle ne laisse pas de pellicule grasse sur les yeux. Si vous cherchez une huile démaquillante : foncez !

Huile démaquillante Erborian
Huile démaquillante Erborian

5. Les films

Deux films ce mois-ci, tous deux sur Netflix :

Irish Wish

Une autrice/relectrice a un crush pour Paul, un écrivain à succès avec qui elle travaille, mais qui doit se marier avec une de ses amies. Le mariage doit avoir lieu en Irlande, et c’est là que notre autrice rencontre la déesse Brigid, qui exauce son vœu : épouser Paul. Mais parfois ce qu’on souhaite le plus n’est pas ce qui est le mieux pour nous.

Ce n’est certes pas le film du siècle, mais c’est mignon, et j’ai passé une très bonne soirée.

Ce que veulent les hommes

Mesdames, avez-vous déjà rêvé de savoir ce qui se passe dans la tête des hommes ? C’est ce qui arrive à l’héroïne de ce film, une agente de sportifs qui, au sein de son agence, ne parvient pas à avoir une promotion, et qui, suite à une rencontre avec une voyante, acquiert le pouvoir de lire les pensées de tous les hommes qui l’entourent, et ce n’est pas toujours beau.

Là encore, ce n’est pas le film du siècle, mais c’est très drôle (avec parfois mention « affligeant »), parfois un peu caricatural, mais là encore on passe une très bonne soirée de divertissement.

6. Les séries

Mammifères (Amazon Prime)

Une série qui interroge le couple, l’amour et la fidélité, sur un point de départ assez classique : un homme découvre que sa femme le trompe, et a plusieurs amants. La série est assez drôle, mais aussi parfois onirique et poétique, et le choix du point de vue fait que la fin est assez inattendue !

Midsummer Night (Netflix)

La Saint-Jean-Baptiste est une fête très importante en Suède, où les gens se retrouvent pour célébrer le solstice d’été en famille (j’ai noté dans ma bucket list d’aller voir ça). Nous suivons donc une famille au cours de cette journée de festivités, qui va s’avérer très mouvementée. La série interroge l’amour, le couple et les secrets, et j’ai beaucoup aimé.

Merci et au suivant (Netflix)

La série turque qui cartonne en ce moment. Cela pourrait ressembler à une sorte de Sex and the city, dans lequel nous suivons une jeune avocate qui vient de rompre avec son futur mari et se remet sur le marché de la séduction. En réalité, même s’il y a des scènes fort drôles, c’est aussi dramatique : toute la saison est construite sur une série de flash-backs qui nous mènent à une scène que l’on voit au début de chaque épisode et dont on nous dévoile petit à petit les clés.

C’est extrêmement bien fait, et interroge les relations toxiques autour de la figure du pervers narcissique, qui n’est peut-être pas celui qu’on croit.

Le goût de vivre (Netflix)

Une série qui était depuis longtemps dans ma liste, mais d’autres lui passaient systématiquement devant. A vrai dire, ce n’était pas du tout ce à quoi je m’attendais, sauf le début avec l’Italie, la sensualité, la nourriture, la lumière, la beauté et l’amour. Mais : la série nous raconte l’histoire d’un couple, une Américaine et un Italien, qui se rencontrent à Florence. Le début est idyllique, mais l’amour c’est surtout pour le meilleur et pour le pire.

Au final, j’ai versé des litres de larmes : c’est une très belle série, très touchante, mais à éviter si vous êtes en phase de déprime !

Et voilà ! Et vous, qu’avez-vous découvert de chouette ce mois-ci ?

Favoris d’avril 2024

Je ne sais pas vous, mais je trouve que ce mois d’avril est passé à une vitesse folle. Et les favoris du mois sont finalement assez peu nombreux. Mais ce sont de chouettes favoris.

1. La combinaison Brooklyn de Sézane

J’ai toujours été une grande amoureuse des combipantalons : contrairement à beaucoup, je trouve cela extrêmement confortable, pratique et élégant. Et avec, je me sens puissante à en conquérir le monde. Mais on ne va pas se mentir : c’est une plaie d’en trouver une correctement coupée, ou en tout cas adaptée à ma morphologie. Or, comme beaucoup, j’avais très envie de m’en offrir une de chez Septem, mais hélas Jessica Troisfontaine a fermé la marque avant que je n’aie franchi le pas.

J’en étais là, à rechercher désespérément une combinaison pour l’automne/hiver et le printemps quand il est pourri comme cette année, et je suis tombée sur celle-ci : en bonne amoureuse de Sézane je n’ai pas résisté et je ne le regrette pas, car elle est exactement comme je voulais. Si je m’écoutais je ne porterais plus que ça !

Combinaison Brooklyn Sézane

2. Cappuccino à la praline de Nescafé

J’avoue une certaine addiction pour les cappuccino instantanés Nescafé, que je trouve plutôt bons et pratiques même si, évidemment, cela n’a rien à voir avec du véritable cappuccino. En temps normal, je consomme le goût basique, mais l’autre jour je suis tombée sur celui à la praline : mais que c’est merveilleux ! C’est onctueux, sucré, réconfortant, et le matin c’est tout ce dont j’ai besoin. Celui au chocolat blanc est très bon aussi !

3. Refaire une frange

Cela faisait des années (9, pour être exacte) (j’ai retrouvé des photos) que je n’avais plus de frange, je ne sais même plus pourquoi (sans doute une bête question pratique, vu qu’il faut que je la passe au lisseur tous les matins sinon ça frisotte). Mais l’autre jour, j’ai été prise d’une impulsion subite.

En fait, voilà l’histoire : j’étais chez le coiffeur, ma couleur était en train de poser, et j’en profitais pour lire mes mails. C’est alors qu’est arrivée la newsletter de Nathalie Longevial, dont je vous ai déjà parlé, et où elle racontait que son mari (qui est coiffeur) lui avait fait une frange et qu’elle adorait. Ni une ni deux, je demande une frange à ma coiffeuse.

Mais quel bonheur ! Moi qui passais mon temps à me battre avec mes cheveux pour ne pas avoir l’air de sortir d’un champ de bataille (surtout en ce moment que les compléments alimentaires les font frisotter encore plus : j’adore mais ça fait vite fouillis), j’ai enfin l’impression d’être coiffée et honnêtement cela me va beaucoup mieux, je n’ai que des compliments !

La frange !

4. Le retour de la saison des vide-greniers

(même si, pour l’instant, le temps à la fois météorologique et chronologique ne m’a pas permis d’en faire)

5. Les séries

Supersex (Netflix)

Une série qui s’intéresse à la vie et à la carrière de Rocco Siffredi : c’est évidemment très cru et dérangeant et la série fait d’ailleurs scandale mais enfin certains s’offusquent d’un rien : bien évidemment à ne pas montrer à des enfants, mais j’ai trouvé le propos assez intéressant, et la série questionne pas mal la société actuelle et la pornographie.

Solos (Prime Vidéo)

Une série anthologique dans laquelle les acteurs, d’une manière ou une autre se retrouvent (sauf dans les deux derniers épisodes) seuls, à dialoguer avec une machine ou des doubles d’eux-mêmes. C’est assez intrigant, et se regarde avec plaisir !

The Durrells (Arte TV)

Merci à Miss Zen qui, ayant mentionné deux fois cette série dans ses commentaires, m’a donné envie de la voir : c’est mon énormissime coup de cœur du mois, je me suis régalée avec cette jolie série adaptée de la trilogie de Corfou (adaptée d’assez loin, mais ce n’est pas grave) de Gerald Durrell, et qui raconte la vie de la famille de 1935 à l’arrivée de la guerre. Les paysages sont magnifiques, éclatants de lumières et de couleurs, l’ensemble est gai et fantasque mais la fin m’a fait pleurer comme une Madeleine, et les personnages tous magnifiquement attachants. Comme on ne se refait pas j’ai surtout été fascinée par Lawrence, et les scènes où il écrit sur la terrasse surplombant la mer : un but de vie ultime, je vais m’acheter une maison à Corfou !

Chaque fois qu’on s’est aimés (Netflix)

Une petite série espagnole assez mignonne, qui nous raconte l‘histoire d’amour tumultueuse de Julio et Irene sur fond de mise en abyme et d’écriture de scénario. Pas la série du siècle, d’autant que les acteurs masculins manquent cruellement de charisme (alors que Georgina Amoros qui interprète Irene est caliente), mais se laisse regarder sans déplaisir.

Les films

Prise au jeu (Netflix)

Un film que j’ai regardé au départ pour une raison très futile : la présence de Tom Ellis au casting. Mais j’ai adoré cette histoire de séductrice (mais vraiment : dans le film, la séduction est élevée au rang d’art) qui se retrouve amoureuse d’un de ses amants d’un soir, et échafaude des scénarios complexes, aidée de ses amis, pour qu’il tombe à son tour amoureux !

Ticket to paradise

Un film dont je n’avais absolument pas entendu parler, alors que George Clooney et Julia Roberts (et Bali !). Dans ce film, les deux stars incarnent un couple divorcé depuis vingt ans, et ils ne peuvent pas rester dans la même pièce plus de cinq minutes sans s’entretuer. Mais voilà : ils sont contraints de s’allier pour empêcher leur fille de se marier sur un coup de tête avec un garçon qu’elle vient de rencontrer à Bali. Evidemment, c’est cousu de fil blanc, mais c’est adorable et j’ai adoré : parfait pour une soirée réconfort.

Et voilà ! Et vous, qu’avez-vous découvert de chouette ce mois-ci ?