Ma certification en copywriting

Certifiée !

Le copywriting : une corde de plus à ma lyre

C’est l’image que j’avais utilisée il y a quelques années (en 2020, juste avant le confinement) lorsque je m’étais inscrite à une première formation au copywriting et qu’on m’avait demandé pourquoi je voulais suivre cette formation. J’avais répondu que j’étais autrice, et que je voulais ajouter une corde à ma lyre.

En réalité, à cette époque ça n’avait pas fonctionné, et je n’avais pas terminé la formation, qui ne me convenait pas. Je sais pourquoi : la première raison est que je n’étais pas prête, et la deuxième c’est que je n’avais pas investi dans la formation que je voulais vraiment, et je m’étais rabattue sur quelque chose de beaucoup moins cher.

La formation que je voulais faire, depuis toujours, c’était celle de Livementor qui est, il faut bien l’avouer, très chère. Elle le vaut totalement, ce n’est pas le problème. Reste que c’est une grosse somme à débourser.

Comme elle est entièrement finançable par le CPF, j’étais d’abord partie dans cette direction. Dans ma situation actuelle, utiliser son CPF est aussi complexe que de réussi à obtenir les codes nucléaires. Je vais vous épargner les multiples épisodes : ils ont fini par accepter de la financer, mais pas à hauteur de la totalité, et de toute façon entretemps j’avais opté pour une autre solution plus satisfaisante dans mon cas.

A Noël, j’avais profité de l’offre spéciale, qui permettait d’acheter la totalité des formations Livementor pour 750€, et cela a donc été mon cadeau de Noël à moi-même. Le corollaire c’est qu’avec cette formule je n’ai pas bénéficié de l’accompagnement par un mentor mais ce n’est pas grave, je pense que cela me convenait mieux comme ça.

C’est quoi le copywriting et comment se passe la formation ?

Le copywriting, c’est l’art d’utiliser les mots pour vendre, ou pour inciter le lecteur à effectuer une action. Il s’agit donc d’écriture, on l’aura compris, mais aussi de psychologie (qu’est-ce qui motive le client ?), d’histoires et d’émotions, et d’un peu de marketing (le marketing étant la formation dans laquelle je vais me lancer à présent).

La formation s’adresse à ceux qui veulent comme moi acquérir de nouvelles compétences en vue d’une reconversion ou d’un élargissement de leur offre (par exemple pour les rédacteurs SEO), ou bien à ceux qui ont un produit à vendre et veulent faire leur propre copywriting.

Elle s’organise en modules de vidéos très complets, d’autant qu’ils abordent aussi des sujets adjacents comme le storytelling ou justement le SEO dont je parlais plus haut. La plupart des modules sont animés par Sélim Niederhoffer, mais aussi d’autres. Il y a des exercices que l’on peut montrer à son mentor si on en a un ou sur le groupe privé (je ne me suis pas inscrite au groupe : je me connais, après je vais y passer des heures).

Et à la fin : on passe une certification, avec un questionnaire. Sachant que bien évidemment, c’est l’expérience plus que la certification elle-même qui est recherchée. Mais une certification ne fait pas de mal, surtout que celle-ci à une excellente réputation.

Vais-je devenir copywriter à temps plein ?

A vrai dire, je ne crois pas. Pour le moment, je vais déjà me servir de tout ce que j’ai appris pour mes propres pages, d’ailleurs vous avez peut-être déjà remarqué des changements sur la page d’accueil et la page A propos, et je travaille sur les pages de vente des nouvelles offres qui arriveront à l’automne.

A terme, le copywriting sera peut-être une de mes activités, parmi d’autres et notamment la rédaction web que je pratique déjà : je l’ai dit de nombreuses fois, je ne veux pas mettre tous mes œufs dans le même panier, et je ne suis de toute façon pas faite pour avoir une seule activité. Mais le storytelling m’appelle, on ne s’en étonnera pas.

En attendant, je vais continuer à monter en compétences sur d’autres sujets, d’abord le marketing digital puis l’ingénierie de formation, grâce au pack que j’ai acheté en décembre.

En tout cas je suis contente : cette formation était un de mes objectifs pour 2024, et depuis que je l’ai terminée j’ai l’impression que mon avenir professionnel se débouche un peu. Même si je ne sais pas encore où va me mener le chemin…

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